Le serpent mordant sa propre queue est premier vu dès 1600 ans AVANT JÉSUS CHRIST en Egypte.
Là de lui s'est déplacé au Phonecians et puis aux Grecs, qui l'ont appelé l'Ouroboros, qui signifie dévorer sa queue.
Le serpent mordant sa queue est aussi bien trouvé dans l'autre mythologie, y compris le mythe des norses, où le nom du serpent est Jörmungandr, et dans l'hindou, où le dragon entoure la tortue qui soutient les quatre éléphants qui portent le monde. Les épellations alternatives incluent : oroborus, uroboros, et oureboros.
Les signes conventionnels derrière l'Ouroboros les ouroboros ont plusieurs significations entrelacés dans eux.
Premier est le symbolisme du serpent mordant, dévorant, mangeant sa propre queue. Ce symbolises la nature cyclique de l'univers : création hors de la destruction, la vie hors de la mort. Les ouroboros mange sa propre queue pour soutenir sa vie, dans un cycle éternel de renouvellement.
Ouroboros était et est le nom pour le grand serpent du monde, encerclant la terre.
La connotation symbolique de ceci doit à la nature cyclique de renvoi des saisons ; les oscillations du ciel de nuit ; art de l'auto-portrait-fecundation ; désintégration et réintégration ; vérité et connaissance complètes ; les eaux primaeval ; le potentiel avant l'étincelle de la création ; l'indifférencié ; la totalité ; unité primordiale ; art de l'auto-portrait-sufficiency, et l'idée du commencement et de la fin en tant qu'étant un principe éternel continu. Il représente le conflit de la vie aussi bien du fait la vie sort de la vie et de la mort