La place de la femme dans l'Islam.
Il est fort possible que mon p'tit mot à propos de cette page déplaise lol mais en tant que femme suis horrifiée de lire ça et je dis :<<Allez vs faire ....!!!>>>
L'homme est supérieur à la femme
Coran : Sourate 2/228 : "Les maris ont un degré au-dessus de leurs femmes..." Sourate 4/38 "Les hommes sont > aux femmes à cause des qualités par lesquelles Allah a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci." Commentaire d'Ibn Kathir sur 4/38 : "Les hommes sont > aux femmes et un homme est mieux qu'une femme". Il ne s'agit donc pas seulement d'une supériorité de rôle, mais de nature, selon le Coran.
La femme est inférieure en intelligence et en religion
Une hadit (parole officielle de Mahomet non recensée dans le Coran) du livre Sahi al-bukhari (qui fait autorité) : Mahomet s'adressant à un groupe de femmes : Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi déficient que vous en matière d'intelligence et de religion. -Pourquoi ? demandèrent-elles. -Parce qu'il faut le témoignage de 2 femmes pour égaler celui d'un homme, et parce que vous ne pouvez ni prier ni jeûner pendant vos menstruations..."
La femme est un jouet sexuel
Plusieurs califes (successeurs de Mahomet) ont déclaré que la femme est un jouet (Omar, Amru ben al'Aas). Mahomet a dit : "La femme est un jouet, mais que celui qui en prend une prenne soin d'elle." Le philosophe musulman Ghazali explique cette idée : "En compagnie des femmes, en les regardant, en jouant avec elles, l'âme est rafraîchie, le cœur se repose et l'homme est fortifié dans son adoration de Dieu... C'est pourquoi Allah a dit : Que l'homme demeure en elle... (Sourate 7/189)"
La femme est honteuse
L'Islam dit que la femme possède 10 partie honteuses, appelées awrah.
La femme elle-même est considérée comme une awrah : "La femme est awrah. Quand elle sort hors de la maison, le diable l'accueille avec joie." "Une femme est plus proche de la face de Dieu quand elle demeure au fond de sa maison. La prière de la femme dans sa maison vaut mieux que sa prière à la mosquée." (Hadith reconnues) La femme est donc découragée de sortir. Si elle sort, elle doit être couverte de la tête aux pieds.
Voici une description du sort des femmes actuellement en Afghanistan :
Depuis la prise de pouvoir des Talibans en 1996, les femmes doivent porter le burqua, sont battues et lapidées en public si elles n'ont pas l'habit adéquat, ne fût-ce que si le filet ne couvre pas leurs yeux. Une femme a été battue A MORT par une foule de fondamentalistes pour avoir incidemment exposé son bras en conduisant. Une autre a été lapidée A MORT pour avoir tenté de quitter le pays avec un homme qui ne faisait pas partie de sa famille. Les femmes ne sont pas autorisées à travailler ni même à sortir sans un parent de sexe masculin. Les femmes qui travaillent en tant que professeurs, traductrices, médecins, avocates, artistes et écrivains ont été contraintes de quitter leur travail et ont été renvoyées à la maison, de sorte que les dépressions deviennent tellement répandues que le phénomène a atteint un seuil d'urgence. Il n'est pas possible dans une société islamique à l'extrême de connaître le taux de suicide avec certitude, mais les représentants d'organismes humanitaires estiment que pour les femmes, qui ne parviennent pas à trouver les médicaments et traitements adéquats pour dépression grave et préfèreraient mourir que vivre dans ces conditions, le taux a augmenté de manière significative. Les maisons occupées par des femmes doivent avoir leurs fenêtres peintes de sorte que les femmes ne puissent jamais être vues de l'extérieur. Elles doivent porter des chaussures qui ne font pas de bruit, de manière à ne jamais être entendues. Les femmes craignent pour leur vie à la moindre "mauvaise conduite". Le travail leur étant interdit, les femmes célibataires ou sans membres de la famille de sexe masculin meurent de faim ou mendient dans la rue, fussent-elles titulaires d'un doctorat. Il n'y a pas pratiquement pas de traitements médicaux disponibles pour les femmes, et les représentants d'organismes humanitaires ont pour la plupart quitté le pays. Dans l'un des rares hôpitaux pour femmes, un journaliste a trouvé des corps immobiles, presque sans vie, couchés sur des lits, enveloppés dans leur burqua, réticents à parler, à manger ou à faire quoique ce soit, dépérissant à petit feu. D'autres sont devenues folles. On les a vues tapies dans des coins, se balançant ou pleurant, pour la plupart, de peur. La situation est arrivée à un point où le terme " violations des droits humains" est un euphémisme. Les maris ont droit de vie et de mort sur les femmes de la famille, en particulier sur leurs épouses, mais une foule en colère a tout autant le droit de lapider ou de battre une femme, souvent jusqu'à ce que mort s'en suive, pour avoir exposé une once de chair ou avoir offensé l'un d'entre eux de la manière la plus insignifiante."
Le mari a tous les droits
Ses désirs doivent être immédiatement exaucés par son épouse.
L'obéissance au mari est la porte du ciel, comme ce hadith en témoigne : "Le prophète dit à une femme : Fais attention à la façon dont tu traites ton mari, car il est ton Paradis et ton enfer."
Les devoirs de la femme sont infinis : "Si une femme léchait le sang et le pus qui coulent du nez de son mari, elle n'aurait pas pour autant achevé ses devoirs envers lui." Cela est cité par l'Imam Suyuti regardé comme un sommité dans l'Islam.
Sourate 4/38 "Vous réprimanderez les femmes dont vous aurez à craindre la désobéissance, vous les reléguerez à part, vous les battrez. Mais dès qu'elles vous obéissent, vous ne leur cherchez point querelle." Ibn Kathir, en commentant cette sourate raconta que le calife Omar, successeur de Mahomet, enseignait à un autre ceci : "Retiens trois choses de ma part que j'ai moi-même retenues du prophète : On ne doit pas demander à l'homme pourquoi il bat sa femme..."
'Abd ar-Rahman al-Gaziri a écrit : "Le contrat de mariage a été fait par le législateur pour que le mari bénéficie de l'organe sexuel de la femme ainsi que du reste de son corps pour son plaisir."
La polygamie est enseignée dans le Coran
Allah dit à Mahomet : "O prophète ! Il t'es permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives qu'Allah aura fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui aura donné son âme au prophète. C'est une prérogative que nous t'accordons sur les autres croyants
L'homme est supérieur à la femme
Coran : Sourate 2/228 : "Les maris ont un degré au-dessus de leurs femmes..." Sourate 4/38 "Les hommes sont > aux femmes à cause des qualités par lesquelles Allah a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci." Commentaire d'Ibn Kathir sur 4/38 : "Les hommes sont > aux femmes et un homme est mieux qu'une femme". Il ne s'agit donc pas seulement d'une supériorité de rôle, mais de nature, selon le Coran.
La femme est inférieure en intelligence et en religion
Une hadit (parole officielle de Mahomet non recensée dans le Coran) du livre Sahi al-bukhari (qui fait autorité) : Mahomet s'adressant à un groupe de femmes : Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi déficient que vous en matière d'intelligence et de religion. -Pourquoi ? demandèrent-elles. -Parce qu'il faut le témoignage de 2 femmes pour égaler celui d'un homme, et parce que vous ne pouvez ni prier ni jeûner pendant vos menstruations..."
La femme est un jouet sexuel
Plusieurs califes (successeurs de Mahomet) ont déclaré que la femme est un jouet (Omar, Amru ben al'Aas). Mahomet a dit : "La femme est un jouet, mais que celui qui en prend une prenne soin d'elle." Le philosophe musulman Ghazali explique cette idée : "En compagnie des femmes, en les regardant, en jouant avec elles, l'âme est rafraîchie, le cœur se repose et l'homme est fortifié dans son adoration de Dieu... C'est pourquoi Allah a dit : Que l'homme demeure en elle... (Sourate 7/189)"
La femme est honteuse
L'Islam dit que la femme possède 10 partie honteuses, appelées awrah.
La femme elle-même est considérée comme une awrah : "La femme est awrah. Quand elle sort hors de la maison, le diable l'accueille avec joie." "Une femme est plus proche de la face de Dieu quand elle demeure au fond de sa maison. La prière de la femme dans sa maison vaut mieux que sa prière à la mosquée." (Hadith reconnues) La femme est donc découragée de sortir. Si elle sort, elle doit être couverte de la tête aux pieds.
Voici une description du sort des femmes actuellement en Afghanistan :
Depuis la prise de pouvoir des Talibans en 1996, les femmes doivent porter le burqua, sont battues et lapidées en public si elles n'ont pas l'habit adéquat, ne fût-ce que si le filet ne couvre pas leurs yeux. Une femme a été battue A MORT par une foule de fondamentalistes pour avoir incidemment exposé son bras en conduisant. Une autre a été lapidée A MORT pour avoir tenté de quitter le pays avec un homme qui ne faisait pas partie de sa famille. Les femmes ne sont pas autorisées à travailler ni même à sortir sans un parent de sexe masculin. Les femmes qui travaillent en tant que professeurs, traductrices, médecins, avocates, artistes et écrivains ont été contraintes de quitter leur travail et ont été renvoyées à la maison, de sorte que les dépressions deviennent tellement répandues que le phénomène a atteint un seuil d'urgence. Il n'est pas possible dans une société islamique à l'extrême de connaître le taux de suicide avec certitude, mais les représentants d'organismes humanitaires estiment que pour les femmes, qui ne parviennent pas à trouver les médicaments et traitements adéquats pour dépression grave et préfèreraient mourir que vivre dans ces conditions, le taux a augmenté de manière significative. Les maisons occupées par des femmes doivent avoir leurs fenêtres peintes de sorte que les femmes ne puissent jamais être vues de l'extérieur. Elles doivent porter des chaussures qui ne font pas de bruit, de manière à ne jamais être entendues. Les femmes craignent pour leur vie à la moindre "mauvaise conduite". Le travail leur étant interdit, les femmes célibataires ou sans membres de la famille de sexe masculin meurent de faim ou mendient dans la rue, fussent-elles titulaires d'un doctorat. Il n'y a pas pratiquement pas de traitements médicaux disponibles pour les femmes, et les représentants d'organismes humanitaires ont pour la plupart quitté le pays. Dans l'un des rares hôpitaux pour femmes, un journaliste a trouvé des corps immobiles, presque sans vie, couchés sur des lits, enveloppés dans leur burqua, réticents à parler, à manger ou à faire quoique ce soit, dépérissant à petit feu. D'autres sont devenues folles. On les a vues tapies dans des coins, se balançant ou pleurant, pour la plupart, de peur. La situation est arrivée à un point où le terme " violations des droits humains" est un euphémisme. Les maris ont droit de vie et de mort sur les femmes de la famille, en particulier sur leurs épouses, mais une foule en colère a tout autant le droit de lapider ou de battre une femme, souvent jusqu'à ce que mort s'en suive, pour avoir exposé une once de chair ou avoir offensé l'un d'entre eux de la manière la plus insignifiante."
Le mari a tous les droits
Ses désirs doivent être immédiatement exaucés par son épouse.
L'obéissance au mari est la porte du ciel, comme ce hadith en témoigne : "Le prophète dit à une femme : Fais attention à la façon dont tu traites ton mari, car il est ton Paradis et ton enfer."
Les devoirs de la femme sont infinis : "Si une femme léchait le sang et le pus qui coulent du nez de son mari, elle n'aurait pas pour autant achevé ses devoirs envers lui." Cela est cité par l'Imam Suyuti regardé comme un sommité dans l'Islam.
Sourate 4/38 "Vous réprimanderez les femmes dont vous aurez à craindre la désobéissance, vous les reléguerez à part, vous les battrez. Mais dès qu'elles vous obéissent, vous ne leur cherchez point querelle." Ibn Kathir, en commentant cette sourate raconta que le calife Omar, successeur de Mahomet, enseignait à un autre ceci : "Retiens trois choses de ma part que j'ai moi-même retenues du prophète : On ne doit pas demander à l'homme pourquoi il bat sa femme..."
'Abd ar-Rahman al-Gaziri a écrit : "Le contrat de mariage a été fait par le législateur pour que le mari bénéficie de l'organe sexuel de la femme ainsi que du reste de son corps pour son plaisir."
La polygamie est enseignée dans le Coran
Allah dit à Mahomet : "O prophète ! Il t'es permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives qu'Allah aura fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui aura donné son âme au prophète. C'est une prérogative que nous t'accordons sur les autres croyants