P'tite réflexion de Franck ;-)
Vieille méchante des contes de fées, lubrique beauté ou sage guérisseuse, pour le commun des mortels, l'archétype de la sorcière, n'évoluait guère depuis l'Inquisition.
Les ethnologues, les amateurs de littérature fantastique ou ésotérique étudiaient, fréquentaient les sorcières
Les seventies empreintes de fleurs mystiques amplifièrent l'image de la sorcière féministe indépendante de corps et d'esprit.
Les jeux de rôles démocratisèrent l'entrée dans le monde magique.
Maintenant cinéma, télévision, musique, jeux vidéos permettent de franchir la porte seul, devant un écran. Depuis 30 ans les enfants, les adolescents sont acteurs dans des mondes virtuels où la magie est omniprésente. Rituel, Pentagramme, Astral, Elfes etc sont des concepts familiers.
L'heroic-fantasy est la littérature jeunesse la plus fructueuse, les pages de Tolkien s'animent en images, les sorcières charment par trois, en ce jour de H.Potter qu'est devenue l'image de la sorcière ?
Voici un autre p'tit texte de mon lecteur préféré, celui qui m'aide ds ces recherches... :-) :
Dans les pages papiers ou numériques feuilletées pour l'élaboration de ce blog, les femmes sorcières semblent moins nombreuses que leurs mâles homologues !
Les grandes figures masculines éclipseraient donc les filles de la Déesse ?
La vie remarquable et la qualité des témoignages légués par les principales actrices du magique prouvent que l'expérience et sa révélation ne doivent rien au sexe.
L'emprise patriarcale depuis l'antiquité sur le savoir et sa propagation demeure un obstacle évident.
L'évolution de la parité et l'émergence de mouvements modernes rétablit heureusement l'équilibre.
Un autre approche plus subtile du phénomène lié aux différences du «ressenti magique » entre Femme et Homme semble une piste intéressante...
Me revient en mémoire une discussion sur les ouvrages majeurs «à lire » entre un vieux sorcier et une jeune sorcière :
Les livres, pfffff, nul besoin ! les livres sont en toi...
Les ethnologues, les amateurs de littérature fantastique ou ésotérique étudiaient, fréquentaient les sorcières
Les seventies empreintes de fleurs mystiques amplifièrent l'image de la sorcière féministe indépendante de corps et d'esprit.
Les jeux de rôles démocratisèrent l'entrée dans le monde magique.
Maintenant cinéma, télévision, musique, jeux vidéos permettent de franchir la porte seul, devant un écran. Depuis 30 ans les enfants, les adolescents sont acteurs dans des mondes virtuels où la magie est omniprésente. Rituel, Pentagramme, Astral, Elfes etc sont des concepts familiers.
L'heroic-fantasy est la littérature jeunesse la plus fructueuse, les pages de Tolkien s'animent en images, les sorcières charment par trois, en ce jour de H.Potter qu'est devenue l'image de la sorcière ?
Voici un autre p'tit texte de mon lecteur préféré, celui qui m'aide ds ces recherches... :-) :
Dans les pages papiers ou numériques feuilletées pour l'élaboration de ce blog, les femmes sorcières semblent moins nombreuses que leurs mâles homologues !
Les grandes figures masculines éclipseraient donc les filles de la Déesse ?
La vie remarquable et la qualité des témoignages légués par les principales actrices du magique prouvent que l'expérience et sa révélation ne doivent rien au sexe.
L'emprise patriarcale depuis l'antiquité sur le savoir et sa propagation demeure un obstacle évident.
L'évolution de la parité et l'émergence de mouvements modernes rétablit heureusement l'équilibre.
Un autre approche plus subtile du phénomène lié aux différences du «ressenti magique » entre Femme et Homme semble une piste intéressante...
Me revient en mémoire une discussion sur les ouvrages majeurs «à lire » entre un vieux sorcier et une jeune sorcière :
Les livres, pfffff, nul besoin ! les livres sont en toi...