AC/DC
Les initiales de ce groupe Australien, ont en fait plusieurs traductions possibles. C'est d'abord une abréviation pour définir le type d'un courant électrique : courant alternatif ou courant direct , faisant allusion à une bisexualité en argot français " marcher à la voile et à la vapeur ".
La deuxième, signifie " AntiChrist / Death to Christ " (" Antichrist / mort au Christ ").
Le double " S " inséré entre AC et DC, en forme d'éclair bien connu dans la symbolique nazie, est une des " marques " de reconnaissance de Satan, baptisé " Thor ", le dieu du Rock'n'roll.
Deux de leurs succès " Hell's bells " (" les cloches de l'enfer ") et " Highway to Hell " (" l'autoroute pour l'enfer ") suffisent pour " démontrer " leur consécration à Satan et leur engagement pour l'Adversaire dans leur entreprise de séduction et de destruction spirituelle.
Leurs bailleurs de fonds qui les ont fait connaître dans le monde entier sont largement impliqués dans la production d'accessoires et l'édition de manuels occultes. Satan ayant aussi ses prophètes, en plus de ses exigences de sang avec ceux qui se sont consacrés à lui, un de leurs albums en 78, annonçait la fin tragique de Bon Scott, l'un des membres du groupe comme la ponctuation incontournable de ce que certains de leurs titres signifiaient sans ambiguïté : " rock'n'roll Damnation ", " overdose ", " inject the venom ". Deux ans plus tard, sur scène, en fin de concert celui-ci proclama : " J'invite Satan à réclamer mon âme, l'enfer étant la Terre promise. Je vais troquer mon abonnement pour un aller simple en enfer ". Son maître ne se fit pas " prier d'avantage ". Avant que la nuit se termine, on le retrouva mort, après un délire dû à la consommation de stupéfiants. Il avait 33 ans... parodiant ainsi le sacrifice de Jésus-Christ sur la Croix.