LIMINAIRE

La "vie" est insouciance
Insouciance dans l'incertitude
Que deviennent les existences 
Sous la poussière de la décrépitude
Et blanc le Tombeau
Où la chair disparaît 
Blanc et sans repos 
Là où va celle que j'aimais
Alors quand la maladie 
Appelle le trépas
Que la "vie" n'est qu'agonie
Et que les Cieux n'écoutent pas
Que reste-t-il à l'amant
Cet animal impuissant
Si ce n'est un oeil de Souffrance
La "vie" n'est qu'insouciance
Alors ce texte amis
Qui m'est un cri dans le Silence
Cette vaine poésie
Mon sanglot sur l'Absence

RaZyeL


17/02/2006
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